Face au réchauffement climatique, la région Grand Est pourrait connaître de manière importante une réduction de sa ressource en eau et une modification du calendrier de la pluviométrie. Ainsi depuis ces dernières années, la région a connu plusieurs étés chauds et secs mettant à mal les prairies naturelles, et conduisant les éleveurs à sécuriser leur ressource fourragère en implantant plus de surface en maïs. Aux côtés de ses partenaires régionaux, le BTPL lance une expérimentation qui devrait durer 3 ans pour tester quatre alternatives aux stratégies fourragères actuelles : substitution partielle de la culture du maïs, évitement de la période sèche et chaude, semis de prairie sous couverts et régénération des prairies naturelles. Ces alternatives ont été choisies pour répondre à la diversité des stratégies fourragères de la région Grand Est.
Rendez-vous d’ici quelques mois pour les premiers résultats.